Depuis sa création, le Lot 135 de la rue Azazel a toujours été un endroit lugubre. Aucune vie ne poussait à proximité, comme si cela allait à l’encontre de la volonté de la nature. Les animaux restaient loin, ressentant un malaise oppressant s’ils s’approchaient trop. Même la météo semblait tourner autour de lui… les nuages l’enveloppaient dans l’obscurité alors que le reste de la rue Azazel baignait dans la lumière du soleil. Cependant, à la fin des années 1800, l’urbanisation continuait de croître, et la ville était désespérée d’avoir plus de résidences. La rue commença lentement à se remplir de maisons. Pendant longtemps, les travailleurs évitèrent de construire quoi que ce soit sur le terrain, demandant même au maire de la ville d’arrêter la construction de la rue entière. Cela n’aboutit à rien. Donc, malgré leur meilleur jugement, les travailleurs ont commencé les travaux sur le Lot 135 un vendredi 13 octobre 1899.
La construction du 18 rue Azazel prit deux fois plus de temps que prévu, car de plus en plus de travailleurs refusèrent de construire ce qu’ils considéraient rapidement comme « La Maison du Diable ». Les hommes au travail moururent de manière suspecte, disparurent mystérieusement et souffrirent mentalement. Lorsque la maison fut enfin terminée, cette même malchance s’abattit sur ses habitants. Famille après famille vécurent dans cette maison, chacune tout à fait normale lorsqu’elle y emménagea, chacune extrêmement dérangée lorsqu’elle en sortit. Malgré avoir été le témoin de trois incendies, sept suicides et douze homicides, la maison est toujours debout à ce jour, que ce soit par dépit… ou par intentions cruelles.
Son dernier résident a récemment été retrouvé mort après que des voisins aient signalé avoir entendu un cri glaçant venant de la maison. Dans son testament, Gregory Wallace a légué sa maison à sa nièce Samantha, bien malgré elle. Craignant ces couloirs maudits, elle vous a engagé, des experts en phénomènes paranormaux, pour débarrasser sa nouvelle maison de ses atrocités. Faites-le rapidement… car ses démons ne vous seront pas non plus bienveillants.