Vous lisez un autre article bouleversant sur les enlèvements continus à Hochelaga. Des frissons vous parcourent l’échine en imaginant les terribles choses qui sont faites à ces pauvres victimes. Jour après jour, vous passez devant de plus en plus d’affiches de personnes « disparues », et votre confiance en votre quartier s’effrite. La police a fait de cette affaire sa priorité absolue, mais ses efforts restent vains… l’esprit sinistre derrière ces atrocités est sacrément doué pour effacer ses traces. La seule avancée dans l’affaire a été la révélation qu’il ne travaille pas seul ; un complice inconnu subjugue probablement les victimes, baissant leur garde pour les rendre plus vulnérables.
En ces temps dangereux, vous restez sur vos gardes. Peut-être êtes-vous paranoïaque, ou peut-être votre instinct vous dit quelque chose, mais vous ne pouvez pas vous défaire du sentiment que vous serez le prochain. Alors, vous décidez de limiter votre cercle à seulement ceux en qui vous avez le plus confiance au monde. Vous ne sortez plus seul désormais, donc aller dîner ce soir avec vos plus proches confidents semblait être le choix le plus sage… mais si vous avez pris toutes les précautions nécessaires, pourquoi vous sentez-vous mal au ventre ? Et pourquoi êtes-vous soudainement si… fatigué… ?
Vous vous réveillez dans un sous-sol sombre, menotté au radiateur avec vos amis. Comment cela a-t-il pu arriver ? vous avez été si prudents. Le kidnappeur n’est nulle part en vue, mais vous refusez de découvrir ce qui se passera quand il arrivera. vous avez lu quelque part récemment que les victimes qui restent plus d’une heure ne s’en sortent jamais vivantes… vous manquez de temps.
